Sacsayhuaman

On notera l’extrême amabilité de Childress, de qui je ferais bien de m’inspirer davantage. Face à l’incohérence et à la stupidité des thèses officielles sur la datation de Sacsayhuaman ou d’autres ruines cyclopéennes, j’ai parfois bien du mal à conserver son flegme tout britannique. A la place, c’est une fureur sacrée toute gauloise qui s’empare de moi, me poussant à écrire des diatribes vengeresses à l’intention de ces jean-foutres.

Pourquoi attribuer aux Incas ces constructions qu’ils n’ont pas bâties ? Pourquoi attribuer aux Mayas des pyramides atlantes ? Non loin de Sacsayhuaman se dressent des vestiges tout à fait émouvant, car leur architecture en évoque une autre, très voisine, à l’autre bout du globe : ce qui accrédite encore un peu plus la thèse d’une civilisation des pyramides répandue sur toute la terre.

Ce site est celui de Vitcos, et il dénote une ancienneté digne de Mu. C’est précisément les ruines supposées d’un fragment de ce vaste empire du Pacifique qui ressemblent étonnamment à ce site : la pyramide submergée de Yonaguni au Japon.



